THERAPIES
Le déroulement d'une thérapie dépend de la personne qui vient en consultation, de ce qui a motivé sa démarche à ce moment précis de sa vie et de sa rencontre avec le thérapeute. Ainsi, certaines personnes sont dans une attente de soutien psychologique pour faire face à un évènement précis. Quelques séances suffisent parfois pour retrouver un élan. D'autres personnes se sentent entravées dans leur vie quotidienne par des éléments de leur passé ou de leur présent et souhaitent entamer un travail plus en profondeur sur elles-mêmes, une psychothérapie.
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Pour les personnes qui viennent à la suite d'un évènement traumatisant, une thérapie EMDR est toute indiquée.
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Déroulement
Une consultation individuelle dure un peu moins d'une heure.
Les consultations sont espacées d'une ou de plusieurs semaines: cela dépendra du type de travail psychothérapeutique entamé (aide ponctuelle, soutien psychologique, psychothérapie, thérapie EMDR,... ). Le rythme des séances est décidé ensemble lors du premier entretien et peut être revu à tout moment du suivi (rapprochement ou espacement des séances).
Je vous reçois en face à face. La parole est essentielle mais pas exclusive dans mon travail. Je peux aussi utiliser d'autres outils, au cas par cas (dessin, "tâche" à faire entre les séances, ...).
Les consultations sont espacées d'une ou de plusieurs semaines: cela dépendra du type de travail psychothérapeutique entamé (aide ponctuelle, soutien psychologique, psychothérapie, thérapie EMDR,... ). Le rythme des séances est décidé ensemble lors du premier entretien et peut être revu à tout moment du suivi (rapprochement ou espacement des séances).
Je vous reçois en face à face. La parole est essentielle mais pas exclusive dans mon travail. Je peux aussi utiliser d'autres outils, au cas par cas (dessin, "tâche" à faire entre les séances, ...).
Une approche intégrative
La thérapie EMDR que je pratique est, par essence, une thérapie intégrative. Et si je qualifie plus largement mon approche d'intégrative, c'est parce que je me réfère à plusieurs approches psychothérapeutiques sans les tenir pour exclusives les unes des autres. Le psychisme humain est, selon moi, trop complexe pour pouvoir être expliqué par une seule théorie. Dès lors, accepter de "changer de lunettes" peut permettre au thérapeute de comprendre au mieux son patient en intégrant plusieurs angles de vue sur sa situation. Cette intégration des différentes approches se fait toujours en fonction de ce qui me parait le plus pertinent pour chaque personne et en fonction de chaque demande.
Parmi ces théories, l'approche systémique est essentielle à ma pratique car elle permet de tenir compte du contexte de vie et de l'histoire de chaque personne. La compréhension d'un comportement problématique ne se limite pas uniquement à l'observation d'un dysfonctionnement interne à la personne mais s'élargit au contexte dans lequel le symptôme a surgi: la famille mais aussi l'école ou le cadre professionnel.
L'approche humaniste (Carl Rogers, Fritz Perls, Irvin Yalom, ...) correspond, elle, intimement à mes valeurs et à l'idée que je me fais de mon métier. Cette approche vise à amener le patient à prendre ses propres décisions, de manière autonome. On parle d'ailleurs de "client" et non de "patient" pour que, justement, le client ne soit pas dans la position de celui qui "patiente" en attendant des changements qui doivent venir de lui-même. L'approche humaniste favorise donc le développement de soi et s'ancre dans une vision positive des capacités de chaque être humain.
C'est également un postulat partagé par l'approche centrée compétences issue du méta-modèle psychothérapeutique de Bruges (Luc Isebaert, Marie-Christine Cabié). Je m'appuie de plus en plus sur cette thérapie systémique brève centrée sur l'alliance thérapeutique car elle se fonde sur les résultats des recherches sur "les facteurs communs" en psychothérapie, c'est à dire sur ce que les thérapies dont l'efficacité est prouvée ont en commun. Dans ce cadre, le patient est acteur et expert de sa thérapie. Le thérapeute est, lui, responsable du processus thérapeutique. Il permet au patient de (re)découvrir ses propres compétences, lesquelles lui permettront d'accéder au changement. Car c'est bien lui, l'acteur et l'expert de sa vie, la thérapie lui permettant de retrouver la liberté de choisir.
Enfin, j'ai recours à l'approche cognitivo-comportementale en particulier à l'ACT (Acceptation and Commitment Therapy, Thérapie de l'Acceptation et de l'Engagement) et à la Thérapie des Schémas (Jeffrey Young) lorsque cela me semble pertinent.
Parmi ces théories, l'approche systémique est essentielle à ma pratique car elle permet de tenir compte du contexte de vie et de l'histoire de chaque personne. La compréhension d'un comportement problématique ne se limite pas uniquement à l'observation d'un dysfonctionnement interne à la personne mais s'élargit au contexte dans lequel le symptôme a surgi: la famille mais aussi l'école ou le cadre professionnel.
L'approche humaniste (Carl Rogers, Fritz Perls, Irvin Yalom, ...) correspond, elle, intimement à mes valeurs et à l'idée que je me fais de mon métier. Cette approche vise à amener le patient à prendre ses propres décisions, de manière autonome. On parle d'ailleurs de "client" et non de "patient" pour que, justement, le client ne soit pas dans la position de celui qui "patiente" en attendant des changements qui doivent venir de lui-même. L'approche humaniste favorise donc le développement de soi et s'ancre dans une vision positive des capacités de chaque être humain.
C'est également un postulat partagé par l'approche centrée compétences issue du méta-modèle psychothérapeutique de Bruges (Luc Isebaert, Marie-Christine Cabié). Je m'appuie de plus en plus sur cette thérapie systémique brève centrée sur l'alliance thérapeutique car elle se fonde sur les résultats des recherches sur "les facteurs communs" en psychothérapie, c'est à dire sur ce que les thérapies dont l'efficacité est prouvée ont en commun. Dans ce cadre, le patient est acteur et expert de sa thérapie. Le thérapeute est, lui, responsable du processus thérapeutique. Il permet au patient de (re)découvrir ses propres compétences, lesquelles lui permettront d'accéder au changement. Car c'est bien lui, l'acteur et l'expert de sa vie, la thérapie lui permettant de retrouver la liberté de choisir.
Enfin, j'ai recours à l'approche cognitivo-comportementale en particulier à l'ACT (Acceptation and Commitment Therapy, Thérapie de l'Acceptation et de l'Engagement) et à la Thérapie des Schémas (Jeffrey Young) lorsque cela me semble pertinent.